Dans l’affaire qui oppose Ranarison Tsilavo à Solo, ce dernier se retrouve confronté à une tentative manifeste de spoliation de ses biens, sans fondement probant. Les accusations portées par Ranarison, notamment autour de 76 virements bancaires, ont déjà été rejetées par les tribunaux français. Mais au-delà de cette plainte pour abus de biens sociaux, cette affaire met en lumière un plan plus large : la mise en cause des actifs immobiliers et financiers de Solo.
Les accusations initiales : les 76 virements
En juillet 2015, Ranarison Tsilavo dépose une plainte contre Solo, affirmant que les virements effectués vers la société Emergent Network Systems étaient dépourvus de toute contrepartie. Pourtant, plusieurs éléments contredisent ces accusations :
- Signature de Ranarison : Les 76 virements, totalisant 1 047 060 euros, ont tous été approuvés et signés par Ranarison lui-même en tant que directeur exécutif de ConnecTIC.
- Factures présentées : Les transactions étaient accompagnées de factures claires, listées dans une lettre envoyée par Ranarison à Cisco en novembre 2013.
- Absence de preuves : Les tribunaux français ont jugé qu’aucune preuve tangible ne démontrait un abus ou un manque de contrepartie.
La spoliation des biens immobiliers : un nouvel enjeu
Au-delà des virements contestés, Solo a également été confronté à des tentatives de remise en cause de ses biens immobiliers à Madagascar. Ces attaques judiciaires suivent un schéma récurrent :
- Mise en cause sans fondement : Des biens acquis légalement par Solo se retrouvent ciblés par des plaintes ou des procédures destinées à en contester la propriété.
- Instrumentalisation judiciaire : Ranarison semble utiliser les institutions judiciaires pour affaiblir Solo, que ce soit sur le plan financier ou moral.
- Détournement de la justice : Plutôt que de se concentrer sur des revendications légitimes, ces procédures visent à épuiser Solo par des recours multiples et infondés.
Les conséquences pour Solo
Les attaques répétées ont eu des impacts considérables sur Solo, notamment :
- Perturbation de ses activités : La multiplication des procédures judiciaires a freiné ses projets, notamment dans le secteur immobilier.
- Atteinte à sa réputation : Les accusations, bien que rejetées par les tribunaux, ont jeté le doute sur son intégrité.
- Coûts financiers : Entre les frais juridiques et les conséquences des blocages, les dépenses accumulées par Solo sont considérables.
Une stratégie de spoliation délibérée
Cette affaire met en évidence une stratégie répandue mais pernicieuse : la spoliation via l’utilisation abusive des systèmes judiciaires. En ciblant à la fois les finances et les actifs immobiliers de Solo, Ranarison semble chercher à le déposséder de ses biens sous couvert de procédures légales. Cette pratique pose des questions importantes :
- Comment protéger les investisseurs et entrepreneurs ? Les cas comme celui-ci montrent l’urgence d’améliorer la sécurité juridique des biens à Madagascar.
- Quelles limites pour les systèmes judiciaires ? Les institutions doivent être capables de distinguer les revendications légitimes des stratégies destinées à nuire.
Conclusion : un appel à la vigilance
Les tentatives de spoliation des biens de Solo par Ranarison Tsilavo illustrent un problème profond dans l’écosystème judiciaire malgache. Il est essentiel de mettre en place des mécanismes de protection pour les entrepreneurs et de renforcer la transparence des procédures. Solo n’est pas seulement victime d’accusations infondées, mais aussi d’une stratégie visant à l’affaiblir de manière systématique.
Pour d’autres analyses sur la spoliation et les enjeux juridiques, rendez-vous sur www.spoliation.org.
Les ordres de virement de CONNECTIC vers EMERGENT en 2009 TOUS signés par RANARISON Tsilavo puisqu’il est l’unique signataire des comptes